Quelles sont les polémiques autour des compteurs Linky ?
Question posée sur CHECKNEWS.FR
à lire dans l’article de Mr Mondialisation
Pionnière en la matière, la Norvège vient d’investir dans l’installation de lampadaires intelligents sur une portion de ses routes.
Un investissement innovant en la matière, qui pourrait permettre au pays d’économiser plusieurs centaines de milliers de kilowatts par an.
Mais au-delà de la facture d’électricité, la démarche s’inscrit dans une volonté de respecter l’environnement.
Un lampadaire intelligent qui s’adapte à la circulation
En l’absence de trafic ou de visiteurs (à pied ou à pattes), les lampadaires mis au point par l’entreprise norvégienne Comlight n’éclairent qu’à hauteur de 20% de leur capacité pour offrir une lumière tamisée.
Une voiture, un cycliste ou un piéton fait son apparition sur la route, et les lampadaires s’éclairent à pleine puissance — pour s’éteindre de nouveau une fois que le véhicule ou le passant s’est éloigné.
Une technologie qui va encore plus loin en calculant la vitesse des véhicules, et en adaptant un éclairage progressif le long de la route, permis par la communication sans fil établie entre les différents lampadaires.
Enfin, les LED offrent de la lumière avec une très faible consommation électrique.
Exemple à Suivre
UN TEMOIGNAGE EXCEPTIONNEL
de Julien Donzé et Bernard Genier
A voir sur :
Julien Donzé (plus connu sous le nom de Le Grand JD) est parti sur l’île de Bornéo pour voir de ses propres yeux à quoi ressemblait la culture de l’huile de palme et quelles pouvaient être les conséquences de ce business juteux sur l’homme et la nature.
L’huile de palme serait à l’origine d’une catastrophe écologique.
Mais de quoi parle-t-on vraiment ?
En quoi se gaver de pâte à tartiner, manger des biscuits ou se laver les cheveux (oui, on trouve aussi de l’huile de palme dans des shampooings) pose un problème à qui que ce soit ?
Pour avoir une réponse à cette simple question, il n’y a qu’à jeter un œil à cette vidéo édifiante, passionnante et bouleversante
Lien vers l'article
N’attendons pas que des lois viennent changer la règle du jeu.
Tant qu’il y aura des fortunes à gagner, on trouvera toujours des gens prêts à raser la jungle et à éliminer ses habitants (Bernard Genier l’explique très bien dans la vidéo).
Mais dès lors que plus personne n’acceptera de cautionner ce massacre par ses achats, alors, ce qui reste sera sauvé.
Faites passer le message
Lu dans Sciences et Avenir
IMPRESSIONNANT
SCANDALEUX
En seulement 1h30, l’ONG européenne a notamment récolté 23.000 mégots aux abords du Bassin parisien de La Villette.
L’antenne parisienne de Surfrider Foundation Europe organisait dimanche 25 mars 2018 la cinquième édition de sa grande collecte de déchets, Initiative océane, aux abords du Bassin de la Villette. En restant 1h30 sur place, les bénévoles ont eu le temps de constater et prouver les dégâts. Les chiffres sont sans appel puisqu’ils font état de 23.000 mégots, 4.150 capsules de bières, 430 gobelets en plastique, 300 bouteilles en plastique, 300 canettes, 70 pailles ou encore 45 bâtons de sucette retrouvés aux abords du Bassin de La Villette. Des “touillettes” en plastiques, des briquets, des seringues, des piles ou encore des tickets de métro faisaient également partie de la récolte.
Les bénévoles ont aussi eu la surprise de découvrir des objets un peu plus insolites comme un micro-ondes, une trottinette, un casque de moto, des bidons de produits d’entretien ou une bonbonne de gaz. “Il est toujours impressionnant de voir tout ce que l’on ramasse en si peu de temps et dans un petit périmètre”, commente Lionel Cheylus, co-responsable de l’antenne parisienne de Surfrider. “Les mégots constituent toujours le déchet que l’on retrouve le plus. Puis vient le plastique et le fléau des bouteilles en plastique qui pullulent sur les trottoirs.” Or, Surfrider fondation rappelle que “sur son parcours, un mégot peut à lui seul polluer jusqu’à 500 litres d’eau“.
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Notre surconsommation, et nos mauvaises habitudes entrainent cette catastrophe !
Il est encore temps de réagir!
Article à lire sur :
Le vortex Pacifique nord, un énorme amas d’ordures en plein milieu de l’océan, serait bien plus volumineux que ce que l’on imaginait… Et c’est catastrophique.
Une récente étude ont montré que le vortex Pacifique nord contenait 10 à 16 fois plus de déchets que ce qu’avaient relevé les dernières observations, avec 79 000 tonnes métriques soit l’équivalent de 87 000 tonnes. Les données des scientifiques ont été recueillies grâce à des prises de vue aériennes mais également grâce à des filets de pêche tendus entre des bateaux.
Les résultats sont édifiants : dans les régions extrérieures du vortex, il y a environ 1 kilogramme de déchets par mètre carré tandis que le centre, plus concentré, contient 100 kilogrammes de déchets par mètre carré.
Du lundi 26 mars 2018 au dimanche 8 avril 2018
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Halte au gâchis !
Article interessant sur le gâchis à grande échelle !
Extraits :
Le gâchis à grande échelle est démocratisé tandis que l’urgence environnementale ne cesse d’enflammer la polémique.
Dissonante et trébuchante, la société devient schizophrène. Nous avançons à contre-courant de notre époque, pourtant si propice à une profonde remise en question.
Nous achetons trop, nous consommons trop, et par conséquent, nous polluons beaucoup trop !
Quand un objet cesse de fonctionner, nous avons tendance à le remplacer, vite fait bien fait, par un nouveau modèle, flambant neuf.
Cependant, les conséquences pour l’environnement sont désastreuses lorsqu’on sait que l’Amérique jette environs 130 000 ordinateurs et plus de 350 000 téléphones portables par jour.
Malheureusement, nous constatons qu’il est souvent plus rentable de racheter que de faire réparer. Entre les frais à engager, la dimension chronophage que cela implique et les contraintes logistiques, il faut s’armer de courage et de détermination pour demeurer ou devenir un consommateur responsable.
De plus, Internet finit de nous mâcher le boulot quand on sait qu’en quelques clics on peut être livré à prix modique. Des objets de piètre qualité inonde le marché, mais demeurent les leaders des ventes, entretenant la fuite économique par la délocalisation et entretenant la main d’œuvre à bas coût.
Histoire de mettre un coup de pieds dans la fourmilière de la surconsommation, le gouvernement Suédois encourage une pratique ancestrale oubliée… le bricolage ! Désormais, les citoyens qui réparent (ou font réparer) leurs biens endommagés au lieu de courir les magasins seront récompensés par une baisse de leurs impôts.
Le 20 septembre dernier, le Parti Social Démocrate et le Parti Vert suédois ont proposé au parlement une nouvelle loi concernant la baisse des taxes sur les opérations de recyclage. Ainsi, la TVA sur les prix des réparations de vélos, de chaussures ou les reprises de vêtements devrait passer de 25 à 12 %.