L’AMAP Manger Bio de Douvres la Délivrande et l’AMAP de Lion Environnement organiseront le vendredi 15 novembre au cinéma le Trianon de Lion sur Mer une projection débat autour du documentaire : Faut-il arrêter de manger les animaux ?. Pour le débat, ils accueilleront Oumou KHAIRY DIALLO Présidente du Directoire régional des femmes en élevage de Kaolack au Sénégal en présence d’éléveurs normands bio fournisseurs de leur AMAP.
Le Mouvement interegional des AMAP (Miramap) dont sont membres les Réseaux des AMAP de Normandie est partenaire du festival AlimenTERRE
La campagne nationale « Manger Bio et local, c’est l’idéal » se déroulera entre le 20 et le 29 septembre 2019 et se déclinera dans toute la Normandie voir les programmes :
+ 83 %, + 109 %, + 149 %, les sur-marges se concentrent sur les produits les plus consommés
Deux ans après la publication d’une étude économique pointant les sur-marges de la grande distribution sur les fruits et légumes bio1, l’UFC-Que Choisir dénonce aujourd’hui la persistance de cette déplorable politique, dommageable pour le pouvoir d’achat des consommateurs et l’environnement. Afin de faire (enfin !) toute la lumière sur l’ampleur de la pratique, l’Association presse l’Observatoire de la Formation des prix et des marges de publier les niveaux de marges par enseigne et par rayon. Au niveau individuel, sur la base d’une enquête de terrain publiée dans le numéro 583 de Que Choisir, actuellement en kiosque, l’association conseille aux consommateurs de faire jouer la concurrence car la grande distribution n’est pas systématiquement meilleur marché que les magasins spécialisés bio.
“Message du producteur : Comme l’année dernière, puisque nous avons moins de panier en juillet août, et plus de légumes. Nous augmentons la valeur de chaque panier de 2 € pour remercier les clients qui nous soutiennent toutes l’année.”
Il est possible de commander des colis d’été bio de légumes avec le bon de commande (ci joint) à envoyer directement au producteur. Vous pouvez payer par chèque ou faire un virement correspondant (voir Rib joint).
Pour nous, une variété vivante, c’est une variété qui est semée, cultivée et utilisée. Les différentes semences que nous proposons sont souvent reliées à un territoire et un biotope particulier. Nous choisissons les semences en fonctions de leur goût, leur qualité et le fait qu’elles soient adaptées à la culture vivrière. Nous voulons donner aux gens le plaisir du goût et de jardiner, loin des variétés standardisées par les grands semenciers…”
Depuis 1984, une famille suisse développe des semences anciennes pour les rendre accessibles à tous. A travers la conservation et la vente de semences paysannes libres de droit, ils souhaitent préserver notre biodiversité alimentaire et le savoir-faire des jardiniers.
« Quand on parle de biodiversité, on pense souvent aux animaux et aux insectes, mais cela comprend aussi toute la biodiversité des plantes potagères, cet énorme trésor créé pendant des siècles par des générations d’agriculteurs, de maraîchers et de jardiniers. » Tulipan Zollinger, semencier
Le système industriel face à ses propres limites
Avant la révolution verte, les variétés s’amélioraient de générations en générations, les graines des meilleurs plants étaient conservées pour les ressemer l’année d’après : chaque village avait donc des semences adaptées à son climat, son terroir et ses préférences gustatives. La Révolution Verte a gravement endommagé ce savoir-faire traditionnel en créant des variétés hybrides dépendantes d’intrants chimiques.